Norman, appuyé sur la cloison, regarde maintenant, à l'autre extrémité de celle-ci, un encadrement fixé au mur. Lentement il se dirige vers ce point. Il atteint l'encadrement, le touche puis le décroche du mur avec un peu de réticence.
Un petit rond de lumière provenant d'un trou dans le mur derrière le tableau se projette sur le visage de Norman. Cette partie de la pièce étant très sombre, nous pouvons voir clairement cette tache de lumière sur son visage.
Nous nous rapprochons de Norman, de plus en plus près, jusqu'à ce que son profil emplisse tout l'écran. La petite tache de lumière éclaire son oeil. Nous voyons le trou par lequel provient cette lumière. Norman épie ce qui se passe par ce trou.
Référence. Joseph Stefano, Psycho.
Explication. Le fait d'aller à la ligne propose un changement de plan, un découpage.
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anticicéronisme, austérité, blanc 2, catalyse, clair-obscur 1, continuum, croissance de l'action, découpage narratif, dramatisation, échelonnement, éclairage frontal, fonction narrative, gros plan, hyperfactuel, indice, insert, lumière directe, moment crucial, ombre propre, paragraphe, personnage-clé, phase narrative, point de vue à hauteur d'homme, posture, présent actuel, réduction à l'action, rétrécissement de champ, rythme de l'action, scène 2, suspense, trois unités, vision scénique, vue de profil
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